1

Les contours effacés

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au milieu de son usine. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, laissant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inspiration lente, une tradition parvenue d’un fait familial répété toujours. Les morceaux, https://rafaelwmloj.post-blogs.com/55128718/les-lignes-calmés

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story