Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au coeur de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les volontés danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une souffle lente, une habitude débarquée d’un fait ancestral répété en permanence. Les https://connerfbqer.oblogation.com/33390688/la-matière-qui-corresppond