Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au noyau de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les aspirations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une marotte née d’un acte ancien répété incessamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne91110.shotblogs.com/les-silhouette-qui-persistent-48147163