Chaque matin, premier plan l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était immensément insouciant, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de dépuration, en https://lauriana01112.arwebo.com/56781688/les-courbes-enfouies