La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait irrévocable, saisissant l'opportunité de suivre l’immense appareil d’acier morne qui sifflait https://ricardoqcnwf.losblogos.com/33028585/l-oracle-du-train-fée