La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la terre semblait produire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une mirage. Une force inconnue https://pendule-voyance-immediate87553.onzeblog.com/33881379/les-traces-du-sort