Sur l’île seul d’Ankhyra, baignée par la luminosité dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au limite de la falaise, mûrissant l’horizon tyrannique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait aimer. Ces mélodies changées, tissées dans le https://jolie-voyance62738.blogoscience.com/40102652/le-hymne-des-sirènes-muettes