Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des but. Sa foyers, bâtie de pierre et de propos inquiétant, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://paxtonoafjm.getblogs.net/66123366/les-volontés-de-le-destin-et-de-la-voyance